- Emily Jane White
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Emily Jane White est une musicienne originaire d’Oakland en Californie.
Depuis “Dark Undercoat” (avril 2008), premier long format à l’étonnante maturité, un dark-folk émouvant drapé d’un chant magnétique et à la grâce éblouissante, jusqu’à “Victorian America” (octobre 2009), second opus où orchestrations et arrangements s’étoffent. "Ode To Sentience" (2010), "Blood / Line" (2013), "They Moved in Shadow All Together", autant de longs formats aux cours desquels Emily Jane White multiplie les tournées européennes et les rencontres rencontres artistiques. Une œuvre ornée de ballades somptueuses, tour à tour épurées, captivantes et lumineuses.
"Immanent Fire" (parution le 15 novembre 2019), son sixième album, fera date au sein de la discographie de Emily Jane White. L’élégance et la subtilité de l’orchestration, cette voix à la beauté plus magnétique que jamais, cette écriture somptueuse, guident l’auditeur vers un recueil de chansons intemporelles.
Paru à l’automne 2019, très largement salué par la critique (« Un petit bijou d’écriture et de mélodies folk boisés servis par un chant somptueux » France Inter ; « Une poésie militante magnifique » FIP ; Télérama ffff), « Immanent Fire » consacrait l’engagement social et politique de la musicienne californienne : anéantissement biologique, accélération de l’extinction des espèces, désordres humains et économiques majeurs.
« Alluvion », son septième opus (sortie le 25.03.22), aborde avec grâce et gravité la question du deuil : perte de vies humaines et disparition incessante du monde naturel. Ébranlés par les crises qui se chevauchent, notre incapacité à faire notre deuil devient un obstacle. Emily Jane White s’écarte quelque peu des uniques sonorités folks et s’approche davantage des frontières du shoegaze et de la pop électronique. Ici se superposent la pulsation des synthétiseurs et des guitares, des percussions et des boîtes à rythmes. Plus loin entre espoir et lamentation, lumière et chant funèbre, les distorsions et les harmonies vocales s’accordent et de répondent. Le pouvoir d’attraction perdure.
« Chant lancinant, envolées mélodiques, guitares et synthétiseurs, la chanteuse et compositrice américaine Emily Jane White, produite par le label bordelais Talitres, porte la pop à son meilleur. » La Croix (Nathalie Lacube)
« Sombre, intense, puissant et impressionnant » Rock & Folk **** (Philippe Thieyre)
« C’est une rassurante certitude : convenir, à chaque nouvel album d’Emily Jane White, qu’il n’y aura ni déception, ni doute, ni regret aucun » Magic (Julien Courbe)
« Elle chante le feu, le sang, les amours difficiles. Mais sur cet album, sans doute le plus abouti de l’Américaine, son folk gothique semble chercher la lumière. » Télérama fff
"Un petit bijou d’écriture et de mélodies folk boisé servis par un chant somptueux." France Inter
"Une poésie militante magnifique" FIP
"Des univers emprunts d’un mysticisme folk racé." Les Inrockuptibles
"Splendeur folk" Rolling Stone
"Un disque qui tutoie la perfection." Magic
"Voix habitée" Grazia
"Un disque qui devrait en bouleverser plus d’un." Soul Kitchen
"Et des raisons supplémentaires de s’enthousiasmer, pour des tournures (les arrangements de cordes de « Requiem Waltz »), pour des moments de grâce (le pont de « Black Silk ») et des textes intimes, douloureux presque. Sur « The Cliff », Emily Jane White raconte une déchéance, un suicide. Elle accompagne la chute, sobrement." La Blogothèque
"Voix cristalline – comme un voile recouvrant ses mélodies épurées, décharnées – guitares discrètes faisant corps et arrangements au diapason". S. Lowry, Xroads
"Emily Jane White se promène ainsi quelque part entre les sauvageries d’une PJ Harvey et le naturel d’une Adela Diane." J. Seban, Les Inrockuptibles
"Le folk américain aime se torturer pour s’assurer de la profondeur et Emily Jane White fait ça avec suffisamment d’envies musicales pour survivre au cliché." S. Fanen, Libération.
"Une richesse étonnante et confirmant le talent d’une artiste définitivement à suivre… " S. Fanet, TGV Mag.
"Dix morceaux à la beauté foudroyante, comme si Nick Drake s’était réincarné en princesse pour chanter du Cormac Mc Carthy sur un folk empreint de blues" P. Bertin, Les Inrockuptibles.
"Petite merveille indie folk." J. Lesieur, Metro