- Dakota Suite
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Originaire de Leeds en Angleterre, Chris Hooson, cerveau de DAKOTA SUITE, est un homme prolifique. Bien que travaillant à plein temps en tant que conseiller dans un centre de réhabilitation, il trouve encore le temps d’enregistrer sur bandes magnétiques ses idées et sa mélancolie.
Depuis plusieurs années déjà, la discographie de Dakota Suite a trouvée refuge dans la « scintillante » maison Glitterhouse : « Alone With Everybody »/98 compilation des trois premiers EP du groupe, « Navigators Yard »/99 collection de pièces instrumentales pour piano et violons, « The Way I’m Sick »/01 oeuvre instrumentale également, enregistrée avec un orchestre de chambre, « Morning Lake Forever »/00 mini-album, et « Songs For A Barbed Wire Fence »/98 – « Signal Hill »/00 les deux premiers « véritables » albums de Dakota Suite.
Les enregistrement de ce troisième album « This River Only Brings Poison » ont débuté pendant l’été 2001 dans les studios de Badman Recording à San Francisco. Chris y a retrouvé l’un de ses amis et frère d’âme Bruce Kaplan (American Music Club). Trois premières chansons furent enregistrées. Rendez-vous était pris pour mars 2002. Ils terminèrent les enregistrements rejoints par Tim Mooney (ex-American Music Club également). Les touches finales furent ajoutées à Leeds, Fremont puis Nashille.
« This River Only Brings Poison » est sans doute le meilleur reflet de tout ce que Dakota Suite cherche à atteindre. Une musique qui cristallise les influences revendiquées de Chris Hooson (depuis Bill Evans jusqu’à Elenei Karaindrou ou Tom Waits).
"Liqueur. This River Only Brings Poison est à l’image de Chris Hooson, âme vibrante de Dakota Suite qui aborde ses compositions à l’ancienne, épaulé par le producteur Richard Formby. Liqueur douce-amère aux reflets satiens, cela donne autant de notes de piano clairsemées, d’entrechats de guitare malade, de mots soupirés." Libération
"Les chants tristes et beaux d’un orfèvre anglais épris d’Amérique." Les Inrockuptibles
"Dakota Suite chante, avec un accablement palpable, la perte, le chagrin, l’aliénation, sur un lit de guitares acoustiques fourbues, de pedal-steel anesthésiées." Rolling Stone
"L’atmosphère languide qui se dégage de cette longue suite de morceaux anémiés, bribes disjointes d’un folk asthénique, est une atmosphère de lente dérive, de celle qui vous saisit lorsque vous vous perdez dans une rêverie morbide ou le désir triste de la fuite, une sorte de post-scriptum au ‘Dead Man’ de Jarmush : ‘take your thoughts to the river, take your feelings to the sea, and watch them float away’ (« conduis tes pensées à la rivière, tes sentiments à la mer, et regarde les flotter vers le lointain » sur « pillows in the water »)". Popnews