- Maxwell Farrington & Le SuperHomard
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Paru début 2019 sur le label espagnol Elefant Records, ’Meadow Lane Park’ était le premier album de l’Avignonnais Christophe Vaillant sous sa nouvelle entité, Le SuperHomard. Assurément onirique et enchanteur, salué par la critique tant française qu’internationale, adoubé par Paul Weller (celui-ci invite la formation sur l’ensemble de sa tournée européenne), le musicien posait là les jalons d’une nouvelle orientation artistique.
Originaire de Brisbane, Maxwell Farrington quitte l’Australie en 2013, rejoint le Royaume-Uni puis la France. Après Marseille et Toulouse, il s’installe à Saint-Brieuc et participe à la formation de Dewaere, quatuor noise ourlé d’influences 90’. Le chant de Maxwell apporte une touche plus pop et plus chaude.
Christophe et Maxwell se rencontrent lors d’un concert commun à la Boule Noire, à l’occasion du MaMA Festival en 2019. Pendant la balance de son groupe, l’Australien interprète à capella une chanson du compositeur américain Burt Bacharach. Le dialogue est immédiat et les deux musiciens échangent sur leur passion commune pour Lee Hazlewood, Scott Walker ou Frank Sinatra, … autant de mythes, autant d’élégance.
Maxwell Farrington & Le SuperHomard cultivent un goût certain pour les compositions aux arrangements subtils et pour une pop tout à la fois intemporelle et actuelle. Au-delà de cette élégance, au-delà de ces chansons solaires, au-delà encore de ce chant majestueux, le sentiment profond que la musique est avant tout une histoire de rencontre, ...et de partage.
Dès nos échanges initiaux avec le duo, nous en avions la certitude : « Once » était un premier album au titre trompeur. Il n’a jamais été question de boucler l’affaire si rapidement, de tutoyer les sommets et de plier bagage. « Our time alone, our finest hours are spent » chante Maxwell Farrington en ouverture. Nous n’en croyons pas un traître mot.
Enregistré à l’automne dernier au détour d’une tournée, « I Had It All » délivre 6 nouveaux trésors, 6 nouvelles preuves du talent éclatant de nos musiciens, sans doute encore plus remarquable sur un format court.
Pochette : peinture originale de Guillaume Pinard ‘Le dindon de Meillac’
« Once est un album solaire, intemporel, d’une élégance absolue. » Nicolas Ungemuth, Rock & Folk, album du mois.
« Il arrive que l’oreille sont immédiatement ferrée par une chanson, plus rarement un disque entier dont on découvre le son et l’existence. Ca s’appelle tomber sous le charme et c’est exactement ce qui s’est passé avec l’album de Maxwell Farrington & Le SuperHomard. » Antoine de Caunes, France Inter
« Un trésor récupéré des grands fonds. » Christophe Conte, Libération
« Ces mini-symphonies pop aux réminiscences sixties respirent le bon goût. » Franck Colombani, Le Monde.
« Le coup d’éclat (...) déjà l’un des albums de l’année » Paris Match
« Un disque de crooner qui a la classe et joue dans la cour de récréation avec Adam Green (depuis qu’il se prend pour Sinatra) et les Last Shadow Puppets. » Focus Vif
« Un disque renversant » Concert & Co
« Un disque pop aux orchestrations divines » Fanfare Pop
« Rencontre d’un crooner et d’un orfèvre pop » WeirdSound
"Totalement hors du temps, “Once” s’avère être un bijou pop comme on en croise peu. Élégant, sincère et aérien, l’album nous enchante jusqu’à la dernière seconde, sans fausse note." Popnews
« Talitres, bien belle boutique bordelaise, en jette, plus encore, avec ce Once » Muzzart